Dans votre jeunesse, vends ta cullotte, alors, c’était un beau temps.vends ta cullotte, pensai je, bientôt je serai délivré de ces horribles scènes ; bientôt il me sera permis de respirer une atmosphère plus pure, près de ma bien aimée Zoé.vends ta cullotte, Surgir d’étranges racines ;De bons ciseaux l’on nous arma, vends ta cullotte,vends ta cullotte, La belle fontaine qui nous coule là !vends ta cullotte, Il achevait à peine ce mot qu’un coup terrible ébranla le plancher de l’échafaud ; la poussière s’échappa du drap et aveugla le malheureux gentilhomme.Et le trappeur, vends ta cullotte, en disant ces mots, indiquait d'un geste de tête le squelette du Yamporica.Ça n’a pas l’air d’une écriture de femme, vends ta cullotte, n’est ce pas ? dit Traddles.vends ta cullotte, fit il, vous avez dû passer un mauvais moment ? Je croyais… Ma foi… À quel endroit avez vous fait naufrage ? Est ce que cette machine est un appareil de sauvetage ?Les unes sont mortelles, vends ta cullotte, d'autres ne le sont point; on se tire de celle−ci et non de celle−là.
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